Pour un modèle d'entrée de gamme, la Surface Go 3 bénéficie d'une construction très soignée, avec un châssis en magnésium, mais Microsoft ne s'est pas foulé : le design est parfaitement identique à celui de la Surface Go 2. On retrouve donc le pied sur charnière bien pratique qui permet de poser la Surface debout sur un bureau, mais également l'écran de 10,5 pouces et ses bordures malheureusement encore assez épaisses. Aussi, l'écran brillant retient beaucoup les traces de doigts ; il faudra par conséquent le nettoyer régulièrement.
La connectique est toujours très limitée et se limite à un port USB-C et une sortie mini-jack en plus du connecteur aimanté propriétaire pour l'alimentation. Un lecteur de carte microSD est caché sous le pied de la Surface, mais on aurait aimé au moins un port USB-C supplémentaire. Le Wi-Fi 6 et le Bluetooth 5.0 assurent une connectivité rapide et les deux webcams filment en 1080p. Les Surface Go embarquent en effet une caméra frontale de 5 Mpx et une autre à l'arrière qui monte à 8 Mpx. La frontale offre une belle image, même si en basse lumière le résultat est, comme toujours, moins convaincant. Elle est de plus équipée d'un module infrarouge qui permet donc d'utiliser Windows Hello pour le déverrouillage de l'écran.


En l'absence de système de ventilation, la Surface est toujours parfaitement silencieuse. À l'usage, elle chauffe très peu, mais certaines applications intensives comme HandBrake lui feront atteindre plus de 40 °C, ce qui pourrait s'avérer gênant en la tenant dans les mains. La Surface Go 3 n'est cependant pas prévue à cet effet et les cas de chauffe seront donc normalement rares.
Test Microsoft Surface Go 3 : Windows 11 sur un ordinateur-tablette nomade - Les Numériques
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