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Quand l’intelligence artificielle décide seule de licencier Journal du geekQuand l’intelligence artificielle décide seule de licencier - Journal du geek
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Quand l’intelligence artificielle décide seule de licencier Journal du geekLe TOPLIFE E-4600, exclusivement vendu par Carrefour, se positionne sur le segment des vélos électriques ultra abordables : 649 euros, ni plus, ni moins. Un prix qui implique forcément de nombreuses concessions, mais qui lui permet de cibler un public extrêmement large.
Si l’on entend beaucoup parler de certaines marques de vélos électriques — de Cowboy à Angell en passant par VanMoof, Décathlon ou encore Moustache –, d’autres, moins connues, tiennent également une place dans le paysage du VAE. C’est le cas de TOPLIFE et du E-4600, conçu par l’Italien Denver Bike et commercialisé en exclusivité en France par… Carrefour.
Vendu 649 euros, ce cycle branché constitue l’une des offres les plus abordables du marché. Si vous lui appliquez la prime à l’achat d’Île-de-France, le modèle chute à 325 euros. À ce prix-là, qu’a-t-il dans le ventre et sous la pédale ? Peut-on le conseiller ? Réponse dans ce test complet.
Modèle | Toplife E4600 Denver |
---|---|
Puissance du moteur | 250 watts |
Technologie de batterie | Li-Ion |
Autonomie annoncée | 90 km |
Batterie amovible | Inconnu |
Bluetooth | Non |
GPS | Non |
Poids | 25 kilogrammes |
Dimensions | n/a |
Taille des roues | 26 pouces |
Couleur | Bleu |
Poids maximal | 120 kg |
Feu arrière | Oui |
Antivol intégré | Oui |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé à partir d’un modèle prêté par Carrefour.
Ne cherchez ni l’extravagance, ni l’originalité, ni le perfectionnisme : le design du TOPLIFE E-4600 est d’une extrême simplicité, faisant de lui un vélo électrique qui se fond dans la masse. Avec, vous passerez tout bonnement inaperçu au milieu des autres cyclistes. Vous n’attirerez pas l’attention comme peuvent le faire des Angell Bike et Cowboy 3.
Et en même temps, pour 649 euros, difficile d’en attendre plus. Certes, les câbles avant font un peu fouillis. Certes, l’intégration de la batterie au niveau du porte-bagages arrière fait un peu cheap — bien que standard sur des vélos à moins de 1000 euros. Certes, l’ensemble ne casse pas trois pattes à canard.
Mais encore une fois, et nous ne cesserons de le répéter, son prix inférieur à moins de 700 euros restreint forcément sa puissance esthétique. Ici, le TOPLIFE E-4600 s’impose comme un simple vélo électrique qui ne cherche pas à se démarquer des autres, mais qui souhaite avant tout à répondre à sa fonction première : vous déplacer d’un point A à un point B.
Ce cycle a cependant quelques atouts dans sa manche : la forme de son cadre en premier milieu. Son cadre en acier dit ouvert vous permet d’enfourcher (et inversement) votre monture avec une facilité déconcertante. Très pratique, aussi bien pour les utilisateurs que les utilisatrices.
Sa belle panoplie d’équipements fait aussi partie des points positifs : garde-boue, panier avant, porte-bagages arrière, antivol intégré au niveau de la roue arrière, béquilles ou encore les équipements obligatoires comme les phares (qualité moyenne, phare avant cassé au bout de 2 semaines, à activer manuellement), les catadioptres et une sonnette (bien placée). En bonus, le vélo se paie le luxe d’embarquer une fourche télescopique.
Cela lui permet d’amortir les aspérités de la route au lieu de subir les nids de poule et autres irrégularités. Une fourche télescopique apporte donc un niveau de confort supplémentaire, mais fait perdre en contrepartie un poil de dynamisme. Il n’empêche, à ce prix-là, c’est une belle surprise d’en avoir une.
La fourche télescopique n’arrive pas à elle seule à garantir un confort décent. En effet, son système permet bel et bien de gommer le passage de certains trottoirs et autres difformités, mais le manque de suspension au niveau de la selle rend ces exercices particulièrement désagréables pour votre fessier.
Plus simplement, la selle n’est pas accommodante une fois que vous êtes assis dessus : après à peine 10 minutes de trajet, sa rigidité ternit fortement l’expérience. Ne vous attendez clairement pas à des sorties confortables en trônant sur un petit lit douillet à la Reine Bike. Mais à 650 euros, ce constat est clairement pardonnable.
L’autre petite mésaventure rencontrée pendant mon test concerne le collier de selle. Ici, il s’agit d’un collier de selle à serrage rapide — et non à écrou — de qualité moyenne. Rapidement, le système s’est desserré du tube : il est alors nécessaire de le resserrer, pour que le petit manche soit suffisamment résistant afin de bloquer ledit tube.
À plusieurs reprises, ce dernier s’est complètement enfoncé dans son emplacement au passage d’une bosse, la faute à « l’impact » causé. Vous vous retrouvez alors dans une position de conduite digne d’un BMX. C’est surtout surprenant et dangereux sur le moment. Pour 150 euros de plus, le Décathlon Elops 120E ne rencontre pas ce problème.
Enfin, le portage-bagage a tendance à beaucoup ballotter. En clair : il ne respire pas la robustesse. Difficile de lui faire confiance pour lui confier un sac ou une charge un peu lourde. On aurait enfin peut-être aimé des ergots au niveau des poignées pour reposer vos mains : encore une fois, le vélo Décathlon susmentionné en possède.
À ce prix-là, il n’est évidemment pas question de vélo connecté et de fonctionnalités disponibles via une application mobile. Pour utiliser le TOPLIFE E-4600, une simple console de bord placée sur la gauche du guidon permet d’en profiter.
Avant toute chose, pensez à allumer la batterie en appuyant sur un petit bouton placé sur sa face inférieure, à l’extrémité droite. Il suffit ensuite de cliquer sur le bouton « on/off » de la console et de choisir le mode d’assistance à utiliser (représenté par une LED allumée) grâce à un bouton « +/- ».
Pour le rayon d’action, quatre autres LED éclairées ou éteintes représentent le niveau d’autonomie restante. Malheureusement, il est impossible de connaître le nombre exact de kilomètres que vous pouvez encore parcourir.
Le TOPLIFE E64600 est définitivement un vélo électrique de ville et ne se montre pas vraiment adapté pour des trajets sur des sentiers battus — encore une fois, le confort devrait vraiment pêcher.
Malgré son guidon relativement large, je n’ai jamais rencontré de problèmes pour doubler d’autres cyclistes sur des pistes cyclables étroites à a double sens. Sur ce point, vous pouvez être rassurés.
Son poids de 25,1 kilos peut en faire tiquer beaucoup. Si vous n’avez pas d’ascenseur dans votre appartement, bonne chance. Ce sera une vraie contrainte. Dans un ascenseur, il est tout à fait possible de le renverser vers l’arrière pour le faire entrer.
Si vous possédez un salon suffisamment grand pour accueillir un VTC assez élancé, cette option est tout à fait possible. Pour les plus téméraires, le laisser dormir dehors avec un antivol haut de gamme est aussi envisageable.
Sur les vélos électriques, deux types de capteurs coexistent sur le marché : le capteur de force et le capteur de rotation. Avec le premier, l’assistance électrique est proportionnelle à la force que vous mettez dans les pédales. C’est un système qui se fait rare sur l’entrée de gamme. Il répond à un besoin instantané et apporte un côté plus naturel à votre conduite.
Le capteur de rotation est monnaie courante — voire même systématique — sur les vélos coûtant moins de 1000 euros. Ici, l’assistance électrique s’enclenche lorsqu’un mouvement rotatif est détecté. Quant à la puissance transmise, c’est tout, ou rien. Il n’est pas ici question de s’adapter à la fougue de votre pédalage, mais simplement d’envoyer de l’assistance.
Vous l’aurez compris : le TOPLIFE E-4600 a droit à cette seconde option, forcément moins intéressante qu’un capteur de force. Surtout qu’au démarrage, le VAE est vraiment long à la détente. Il faut bien attendre un, voire deux tours de pédaliers, pour commencer à sentir une aide électrique vous épauler. Cette dernière n’est pas linéaire : faible au départ, puis intense vers la fin.
Cette latence d’au moins deux ou trois secondes — même avec les petits rapports de vitesse — est longue et embêtante, puisque les 25,1 kilos du vélo sont difficiles à traîner à la force de vos jambes. Un problème de stabilité sur lequel nous revenons plus tard s’est aussi fait ressentir. Une fois lancé, le TOPLIFE E-4600 se montre tout de même plus réactif lorsque vous arrêtez puis reprenez de pédaler.
Mais dans les faits, cette configuration n’est clairement pas l’idéale : sur une piste cyclable fréquentée, vous passez votre temps à stopper et reprendre votre mouvement selon la vitesse du cycliste placé devant et la place disponible pour le doubler. Votre fréquence de pédalage est donc très irrégulière, et les sensations ressenties peu naturelles.
Le TOPLIFE E-4600 profite d’une transmission à six vitesses qui ne m’a jamais fait faux bond durant mon essai. Entendez par là que le vélo n’a pas déraillé ou souffert de saut de chaîne en changeant de rapport ou en prenant une bosse à trop haute vitesse.
En revanche, le système utilisé laisse perplexe : la poignée tournante dédiée au changement des vitesses ne délimite pas clairement les six rapports. Vous avez affaire à une multitude de sous-rapports très imprécis, qui ne permettent pas de savoir avec précision la vitesse sélectionnée.
Même en vendant un vélo à 650 euros, le constructeur aurait pu faire un effort en installant une poignée tournante plus conventionnelle.
Le cycle profite enfin de trois niveaux d’assistance : 1, 2 et 3. Soyons honnêtes : vous utilisez dans à 99 % du temps le plus puissant d’entre eux.
La stabilité n’est pas le point fort du TOPLIFE E-4600. Sans raison apparente, la partie avant du vélo souffre d’une instabilité agaçante, qui a tendance à systématiquement faire basculer la roue du côté droit ou gauche lorsque le vélo est posé sur sa béquille. Ou lorsque vous tenez le vélo par la selle, dans une situation spécifique.
Lors d’un démarrage, ce déséquilibre entraîne une certaine turbulence. En effet, puisque l’assistance électrique met un certain temps à pointer le bout de son nez, la faute au capteur de rotation, le guidon manque d’aplomb et se fait bringuebaler dans tous les sens. Cela peut être dangereux si un scooter ou un autre vélo vous doublent par la gauche.
Pas de surprise au niveau des freins : nous avons ici affaire à un système dit à patins, plus économique que des freins à disque hydrauliques, mais aussi moins efficaces. Ceux du TOPLIFE E-4600 sont corrects, sans être transcendants.
Disons que vous n’êtes pas totalement rassuré si vous devez effectuer un freinage d’une extrême urgence. Pour le reste, il suffit d’anticiper un peu plus les situations. Les freins du vélo se sont malheureusement rapidement desserrés.
S’il y a bien un point sur lequel de TOPLIFE E-4600 se démarque, c’est l’autonomie. Sur son site officiel, Carrefour communique sur une portée de 90 kilomètres. Cette donnée correspond vraisemblablement au niveau d’assistance numéro 1, soit le plus faible. C’est une petite habitude chez les marques.
Dans notre cas — utilisateur de 176 centimètres pour 63 kilos –, le mode 3 a été privilégié tout le long du test. Bien évidemment, il est impossible de connaître le rayon d’action exact en l’absence d’application mobile ou d’écran. Il a donc fallu recenser a la mano chaque trajet et sa distance respective.
Bonne nouvelle : vous pourrez aller loin avec ce vélo électrique. J’ai en effet pu parcourir environ 50 kilomètres avant que la dernière des quatre LED représentant l’autonomie restante ne se mette à clignoter. Signe que la batterie arrive au bout de ses capacités et qu’une recharge est nécessaire.
Pour le prix affiché, c’est une excellente autonomie que propose le TOPLIFE E-4600. Pour 150 euros plus chers, le Decathlon Elops 120 E affiche 20 kilomètres de moins. Certains vélos bien plus onéreux — Angell Bike, Voltaire ou Momentum Model T — peinent d’ailleurs à chatouiller le seuil des 50 kilomètres.
Ce rayon d’action est d’autant plus beau au regard du capteur de rotation présent sur le vélo : ce type de système est généralement consommateur, puisque le moteur déploie le maximum de puissance. Il ne s’adapte pas à la force de pédalage.
Attention en revanche au système de LED présent sur le tableau de bord : il n’est pas fiable. J’ai en effet parcouru environ 20 kilomètres avant que le premier voyant rouge ne s’éteigne. Il aura fallu 6 kilomètres supplémentaires pour que la seconde LED limite. C’est inégal.
À plusieurs reprises, une LED pouvait s’éteindre puis se rallumer quelques instants plus tard. Aussi, une réelle perte de puissance se fait ressentir sur les 10 derniers kilomètres environ. Les 25 km/h ne sont clairement pas atteints. C’est quelque peu dommage.
Le TOLIFE E-4600 est disponible en exclusivité chez Carrefour au prix de 649 euros. En France, de nombreuses à l’aide à l’achat vous permettent de faire chuter son prix. En Île-de-France par exemple, une prime de 500 euros dans la limite de 50 % du prix d’achat est disponible. Le vélo chute ainsi à 325 euros.
Une nouvelle famille de malware vient d’apparaître et celle-ci s’attaque aux systèmes tournant sous Linux. Les logiciels malveillants se cachent dans des utilitaires Linux à l’apparence légitime et fournissent aux hackers des portées dérobées pour accéder facilement aux données des utilisateurs. Il se distingue des autres malwares par sa discrétion et par sa grande résilience.
Selon les chercheurs de la société de sécurité réseau Eset, le logiciel malveillant « FontOnLake » commence à apparaître de plus en plus régulièrement sur les machines Linux. Il a été détecté pour la première fois sur VirusTotal en mai 2020, mais les serveurs de commande et de contrôle connectés à ce malware étaient alors désactivés.
L’analyse des échantillons détectés a cependant permis aux chercheurs de déterminer que FontOnLake contenait des fonctionnalités d’accès à distance, des outils de vol de données et qu’il pouvait initialiser des serveurs proxys. Les chercheurs d’Eset pensent cependant que les opérateurs du malware sont trop prudents pour être attrapés, car presque tous les échantillons obtenus utilisent des adresses de serveur différentes.
La société Eset indique que le malware se transmettrait avec des utilitaires Linux modifiés qui contiennent des chevaux de Troie. « Tous les fichiers modifiés sont des utilitaires Linux standard et servent de méthode de persistance, car ils sont couramment exécutés au démarrage du système », explique Vladislav Hrčka, analyste en logiciels malveillants et rétro-ingénierie chez Eset. Les chercheurs ajoutent que les pirates ont modifié le code source d’utilitaires légitimes pour y intégrer les codes malveillants. Les spécialistes cherchent toutefois encore les méthodes de distributions utilisées pour convaincre les utilisateurs d’installer ces versions contaminées.
Ces malwares installent des portes dérobées sur les machines infectées et permettent aux pirates de collecter un grand nombre de données. Les chercheurs ont également détecté des rootkits dans les malwares, ce qui permet à ces derniers d’agir de façon très discrète tout en étant complexe à déloger. Ces rootkits leur permettent également de se mettre à jour. Selon Avast, le rootkit est basé sur le projet open source Suterusu.
Ce n’est malheureusement pas le premier malware de ce type qui touche les appareils Linux, en août dernier, Avast alertait les utilisateurs contre le malware « HCRootkit », qui utilisait ce même rootkit Suterusu. Comme toujours dans ce type de circonstance, il est important de rappeler que la majorité des piratages sont causés par une négligence des utilisateurs. N’installez donc jamais de logiciels ou d’utilitaires provenant de sources dont vous ne pouvez garantir l’authenticité.
Selon le site 91Mobiles, Nothing travaillerait actuellement sur la conception de son premier smartphone. L’entreprise britannique, fondée par Carl Pei, l’un des fondateurs de la marque de smartphones OnePlus, avait fait le buzz l’hiver dernier, et ce alors même qu’elle n’avait pas un seul produit dans son portfolio. Au printemps dernier, elle avait commercialisé une paire d’écouteurs au design futuriste. Depuis, silence radio.
Si l’entreprise avait déclaré qu’elle se spécialiserait dans les produits audio, son partenariat stratégique avec Qualcomm – qui implique notamment un investissement du géant américain dans l’activité de la jeune start-up –, annoncé il y a peu, laissait déjà présumer que le groupe pourrait élargir son domaine d’activité.
L’information rapportée par 91Mobiles laisse présumer que Nothing pourrait bientôt venir jouer sur les plates-bandes de OnePlus. L’entreprise britannique mise en effet sur un positionnement premium, avec des tarifs très attractifs.
News jeu Nintendo Switch : les jeux à surveiller en novembre 2021
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Par Jinxeb, Rédaction jeuxvideo.com
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Si l'on vous pose cette question, le nom d'Apple vous viendra probablement en tête. Mais d'autres grandes marques ont déjà conçu de solides concurrents aux meilleurs smartphones de Samsung.
Ce comparatif des meilleurs smartphones de 2021 vous le prouvera.
Le terme « métavers » (contraction de méta-univers) a été évoqué pour la première fois par Neal Stephenson, un auteur de science-fiction américain. Dans son roman Snow Crash (titre français : Le Samouraï virtuel), paru en 1992, il décrit un univers futuriste apocalyptique, auquel les personnages peuvent momentanément échapper en plongeant dans un univers de réalité virtuelle, dans lequel chacun peut évoluer à travers son avatar.
Ce métavers, c’est donc un aperçu de la façon dont un Internet basé sur la réalité virtuelle pourrait évoluer dans un proche avenir : un monde virtuel fictif, composé de plusieurs espaces distincts et persistants, peuplés d’avatars contrôlés par les utilisateurs. Si le concept a été pensé par Stephenson il y a une trentaine d’années, le terme est revenu sur le devant de la scène depuis que Mark Zuckerberg a fait savoir qu’il souhaitait développer un métavers.
Facebook — rebaptisée Meta depuis peu — vient d’ailleurs de corroborer ses dires en annonçant la création de 10 000 emplois en Europe, dédiés à ce nouveau projet d’envergure — en particulier à la fabrication des dispositifs de réalité virtuelle et augmentée nécessaires pour accéder au futur métavers. Selon Zuckerberg, les casques de réalité virtuelle finiront d’ailleurs par devenir aussi omniprésents que les smartphones. Mais quel est donc exactement cet « ensemble d’expériences maximalistes et interconnectées » sur lequel reposera le métavers de Meta ?
Des espaces virtuels, en 3D, partagés et reliés les uns aux autres pour former tout un univers, c’est l’idée de base du métavers. Mais surtout, il s’agit ici d’espaces persistants — ce qui distingue le métavers de la plupart des jeux en ligne multijoueurs, qui ne donnent généralement accès qu’à des instances non persistantes. Les nouvelles technologies sont véritablement les catalyseurs de la transition de l’Internet actuel vers ce concept futuriste ; ces technologies englobent la réalité étendue, l’intelligence artificielle, la blockchain, la vision par ordinateur, le cloud computing, la visioconférence, la diffusion d’événements en direct et les futurs réseaux mobiles.
L’écosystème du métavers doit permettre aux utilisateurs de « vivre », via leur avatar, dans un domaine autonome, persistant et partagé. L’interaction sociale humaine sera d’ailleurs l’élément central du métavers. Il faut toutefois bien comprendre qu’il ne s’agit pas d’un jeu et qu’il ne sera pas la propriété d’une seule entreprise. Il faut réellement imaginer le métavers comme un Internet mondial, mais en 3D, où tous les services et outils d’informations et de communication seront interopérables et offriront une expérience utilisateur complètement immersive. Il sera possible de travailler dans ce métavers, mais aussi d’assister à des concerts ou de profiter d’autres loisirs, tout comme dans le monde réel.
Tout comme vous pourriez créer un document dans Microsoft Word, puis l’envoyer via Gmail à un collègue pour qu’il le lise ensuite sur un iPad, les éléments qui constituent le métavers devront se déplacer, d’un produit/service à l’autre, tout en conservant leur valeur et leur fonction. L’Open Metaverse Interoperability Group a d’ailleurs été spécialement créé pour promouvoir un avenir où les différents métavers partageront leur technologie afin que les avatars puissent passer de l’un à l’autre de manière transparente — de la même manière que l’on peut passer actuellement d’un site web à l’autre sur Internet sans pour autant changer de navigateur.
Ce n’en est pas vraiment un, mais le métavers possède plusieurs points communs avec les jeux multijoueurs en ligne, qui proposent eux aussi des mondes interactifs partagés. Le jeu Second Life, sorti en 2003, fut le premier exemple de ce qui se rapproche le plus d’un métavers : un univers virtuel en 3D créé par les utilisateurs eux-mêmes via leurs avatars.
Pas de mission à accomplir ni d’objectif précis à atteindre ; le principe est d’évoluer au mieux dans ce monde virtuel, en achetant des biens (avec la monnaie du jeu, le dollar Linden, convertible en dollars américains), en échangeant des services, en organisant des événements, etc. À son apogée, le jeu comptait près d’un million d’utilisateurs réguliers. Le groupe Duran Duran a même organisé des concerts et créé son propre espace au sein de cet univers en 2006.
Linden Lab, qui a développé le jeu, gère le rendu graphique et assure la maintenance de l’équipement nécessaire à l’hébergement des données. Mais dès 2007, fragilisé entre autres par la crise des subprimes, le jeu suscite moins d’intérêt et beaucoup d’entreprises ayant créé des boutiques au sein de cet univers décident de quitter l’aventure, des espaces sont laissés à l’abandon, etc. Mais Second Life existe toujours ! En 2019, Linden Lab revendiquait 800 000 utilisateurs se connectant au moins une fois par mois.
Le créateur du jeu Roblox, David Baszucki, a lui aussi la ferme intention d’investir le métavers. Sorti en 2004, le jeu est de type sandbox ; le principe est de créer des jeux, puis de les faire découvrir aux autres joueurs. « Tout comme le courrier, le télégraphe, le téléphone, le texte et la vidéo sont des utilitaires pour le travail collaboratif, nous pensons que Roblox et le métavers deviendront des outils essentiels pour la communication d’entreprise », a-t-il déclaré au New York Times. À noter que Roblox Corporation a racheté l’an dernier la start-up Loom.ai, spécialisée dans la création d’avatars virtuels capables de reproduire les traites de personnalité de leur utilisateur par apprentissage automatique. En avril 2021, la plateforme Roblox aurait atteint les 202 millions d’utilisateurs uniques.
Tim Sweeney, le dirigeant d’Epic Games — acteur majeur de l’industrie du jeu vidéo, à l’origine de Fortnite entre autres — est évidemment très intéressé par le métavers. Fortnite a d’ailleurs largement évolué en ce sens, en incluant des concerts, des événements de marque et bien plus encore dans son propre monde numérique. Au mois d’août dernier, des millions de fans d’Ariana Grande ont par exemple pu assister à une série de concerts à travers le jeu. Et dès qu’un blockbuster s’apprête à sortir au cinéma, les joueurs peuvent endosser les « skins » associés au film en question.
Mais les partenariats pourraient encore aller beaucoup plus loin : Sweeney a récemment déclaré au Washington Post qu’il envisageait un monde où un constructeur automobile souhaitant faire la publicité d’un nouveau modèle pourrait déposer sa voiture dans ce monde de manière à ce que les utilisateurs puissent l’essayer. De la même manière, lors d’une session de shopping en ligne, il pourrait être possible d’essayer des vêtements numériques, avec son avatar, puis de les commander pour qu’ils soient expédiés dans le monde réel.
Ne reste qu’à imaginer toutes ces expériences, non pas derrière un écran, mais en étant totalement immergé dans ces univers au moyen d’équipements de réalité virtuelle et augmentée : voilà à quoi devrait ressembler le métavers.
Le métavers suscite donc un grand enthousiasme parmi les investisseurs fortunés et les grandes entreprises technologiques, y compris Meta ; et pour cause, tout le monde veut être prêt à intégrer cette future version d’Internet. Dans ce contexte, l’entreprise a largement investi dans la réalité virtuelle — et ce, dès 2014, lorsqu’elle a racheté la société Oculus VR pour un montant de 2 milliards de dollars ; son dernier produit en date, l’Oculus Quest 2, mis sur le marché il y a un an, s’est vendu à plus de 5 millions d’exemplaires, battant tous les records de ventes de casques de réalité virtuelle ! Une nouvelle version du produit, encore plus perfectionnée, devrait bientôt voir le jour.
Lors de la dernière conférence annuelle de sa société, qui s’est tenue le 28 octobre, Zuckerberg a précisé sa propre vision du métavers. Celui-ci mêlera des univers de réalité augmentée et de réalité virtuelle, dans lesquels les utilisateurs pourront interagir, à travers leurs avatars numériques. Il sera possible de travailler à distance avec ses collègues, dans des bureaux virtuels, ou encore de se divertir, comme évoqué plus haut. La plateforme de Meta devrait également intégrer une version virtuelle de Facebook Marketplace, via laquelle il sera possible de vendre des produits et services numériques.
Meta a d’ores et déjà développé plusieurs applications de réalité virtuelle : Facebook Spaces — une application de réseau social en réalité virtuelle lancée en 2017 — est désormais remplacée par Horizon Worlds ; un changement qui s’inscrit dans la continuité de l’application de travail collaboratif Horizon Workrooms lancée cet été, qui peut réunir jusqu’à 16 personnes en réalité virtuelle, représentées par leurs avatars.
À noter également l’arrivée prochaine d’Horizon Home, un environnement domestique pour l’Oculus Quest, qui offrira la possibilité d’inviter des amis dans son propre espace, puis de discuter ou de lancer avec eux des applications en VR. Des options de personnalisation de cet espace — similaires à celles proposées dans l’ancienne application Oculus Rooms — sont également au programme. En posant ainsi des jalons dans les sphères personnelles et professionnelles de ses utilisateurs, Meta construit peu à peu les fondations de son futur métavers.
Au premier trimestre 2021, Facebook/Meta revendiquait 2,85 milliards d’utilisateurs actifs chaque mois et 1,88 milliard d’utilisateurs actifs chaque jour dans le monde. Si toutes ces personnes intégraient le métavers, cela pourrait devenir la plus grande expérience de réalité virtuelle à ce jour. Mais selon l’entreprise, le métavers en tant que tel ne verra pas le jour avant au moins 10 à 15 ans. Et pour cause : ces mondes numériques avancés auront besoin d’une meilleure connectivité, plus cohérente et plus mobile — un problème qui devrait cependant être résolu avec le déploiement de la 5G.
La technologie décentralisée sur laquelle reposent les cryptomonnaies, la blockchain, jouera également un rôle majeur dans l’économie de cet univers virtuel. L’intérêt croissant pour les NFT, qui permettent de suivre de manière fiable la propriété des biens numériques, pourrait donner une idée du fonctionnement de cette économie. Les NFT, les « non fungible tokens », sont des jetons numériques uniques, non reproductibles et non interchangeables, qui permettent d’authentifier un objet réel ou virtuel (une image, une vidéo, un fichier audio…).
Par exemple, sur la plateforme Decentraland — une plateforme de réalité virtuelle interactive open source dans laquelle les utilisateurs peuvent acheter, utiliser et construire sur des terrains virtuels — le système garantit à ses utilisateurs des droits de propriété complets, ainsi qu’un enregistrement permanent de la propriété sur la blockchain Ethereum. La devise utilisée, appelée MANA, permet d’acheter des terres ou des œuvres d’art NFT ; la maison de vente aux enchères Sotheby’s possède un terrain sur Decentraland où elle a construit une réplique de ses galeries londoniennes.
Pour ce qui est du travail collaboratif, de visiter des galeries d’art, d’assister à un concert, d’essayer une nouvelle voiture ou de nouveaux vêtements, le concept de métavers pourrait effectivement fournir une expérience sans précédent ; pour ce qui est d’effectuer une simple recherche sur Wikipédia ou de déclarer ses impôts en ligne, cet Internet du futur en 3D apparaît en revanche un tantinet démesuré (!).
Du haut de ses 43 ans, Thomas Pesquet est ce que l’on peut sans doute qualifier un spationaute accompli. À l’heure de l’écriture de ces lignes, il est en apesanteur, à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS). Son retour est prévu pour la semaine prochaine, mais la date n’a pas encore été confirmée. Après ce retour, Thomas Pesquet ne reviendra plus à l’ISS, mais son aventure d’astronaute ne s’arrêtera pas pour autant là.
Le jour du retour de Thomas, avec trois autres astronautes, est prévu entre le 4 ou le 5 novembre prochain. Le motif de cette incertitude est le report du vol de leurs remplaçants du 31 octobre au 3 novembre, dans le cadre de la mission Crew-3 de SpaceX. Pour rappel, Thomas et les trois autres astronautes qui s’apprêtent à regagner la terre ferme ont rejoint le complexe orbital en avril 2021. Au total, ils ont donc passé six mois dans l’espace.
Aguerri et expérimenté, l’astronaute français s’est vu attribuer plusieurs missions de sortie dans l’espace au cours de ce second et dernier séjour à bord de l’ISS. Il devait notamment installer de nouveaux panneaux solaires. Le 4 octobre, il a pris le commandement de la station. Il devient ainsi le premier astronaute français à occuper ce poste. Néanmoins, puisqu’il a déjà séjourné à l’ISS en 2009, Thomas Pasquet n’y retournera plus. En effet, l'Agence Spatiale Européenne ne permet que deux vols vers l'ISS à ses astronautes.
Si la NASA a été obligée de reporter le lancement de Crew-3, ce n’est pas uniquement pour des raisons techniques. En effet, parmi les quatre passagers de ce prochain vol figure l'astronaute européen Matthias Maurer. Le fait est que l’Allemagne et la France ont, d’une certaine manière, mis la pression pour que les deux astronautes de l’ESA (Agence spatiale européenne) se rencontrent en orbite. Il y a lieu de noter que ces retrouvailles organisées n’ont aucune finalité technique ni scientifique. À vrai dire, elle ne ressemble pas moins à un pur coup de communication.
Rappelons que trois places à bord du Gataway sont réservées à des astronautes expérimentés de l’ESA. Répondant parfaitement aux critères, Thomas Pesquet figurera fort probablement parmi ces prochains visiteurs de la Lune. Soulignons d’ailleurs que « Gataway » est le nom que la NASA a donné à la future station spatiale lunaire dont le lancement est prévu pour 2024.
Aussi bien des Agences spatiales que des entreprises participent à la réalisation de cet ambitieux projet. Le but ultime de ce gros partenariat international est d’envoyer des humains dans l’espace, beaucoup plus loin qu’auparavant, dans le cadre d’une exploration scientifique. À titre de précision, le complexe orbital stationnera à proximité de la lune. Il n’y aura donc pas d’alunissage.
Suivant le calendrier de la NASA, la station spatiale lunaire Gateway devrait être opérationnelle dès 2026. Dès lors, elle devrait permettre la réalisation d'expériences scientifiques et de démonstrations technologiques.
Le lancement des Samsung Galaxy S22 se situerait aux alentours de janvier ou février 2022.
La série des Samsung Galaxy S22 n’en finit pas d’enchaîner les fuites les plus contradictoires. Déjà sur son module photo, plusieurs thèses s’affrontent : en goutte d’eau ou en un seul bloc, en forme de P ou de 11… Voici maintenant que la date même du lancement est plongée dans l’incertitude.
Selon Sam Mobile, un site spécialisé dans l’actualité de la firme de Séoul, le Samsung Galaxy S22 ne sortira pas avant février. Pour ceux et celles qui suivent de près le dossier, c’est un peu une surprise étant donné que de nombreuses rumeurs pointaient jusque là vers un début de production de masse des composants à partir de novembre 2021, avec un lancement fin janvier 2022.
C’est ce qu’avançait encore très récemment Ice Universe, un habitué des indiscrétions plutôt fiable, même s’il lui est aussi arrivé de se tromper par le passé.
Rappelons que les S21 avaient été présentés le 14 janvier 2021 tandis que les S20 avaient dû attendre jusqu’au 11 février 2020. En tout état de cause, les deux hypothèses semblent donc crédibles à ce stade.
Malheureusement, Sam Mobile ne détaille pas vraiment d’où proviennent ses informations, il est donc difficile d’avoir une idée plus précise de la date de lancement. Le site évoque pudiquement « des données récentes ».
Il n’est pas impossible que le carton des Galaxy Z Flip 3 et Z Fold 3 ait pu motiver Samsung à attendre quelques semaines supplémentaires.
Rappelons aussi qu’avec le rationnement de la consommation électrique en Chine et la pénurie de composants, les dates de lancement sont plus que jamais sujettes à des changements de dernière minute. Le fantôme du Galaxy S21 FE en sait quelque chose.
5 La série Galaxy S22 de Samsung s'appuie sur une nouvelle puce mobile : l'Exynos 2200, successeur d’un Exynos 2100 performant et ...